"La première partie de la vie se passe à désirer la seconde ; la seconde à regretter la première."

Enfant, on avait tous nos rêves, nos envies; "Je serais Vétérinaire", "J'aurais un chien et 2 enfants". Enfant, la vie n'était qu'un jeu, nous n'avions qu'une hâte, grandir, réaliser nos rêves, voir tout devenir réalité.
Adolescent, on ne réalise pas ce qu'on fait, on ne sait plus quoi penser de la vie, après les crases qu'elle nous a déjà fait. On se demande ce qui se passera après. Certains reste optimiste, garde dans un coin de leur tête leurs rêves. On ne souhaite qu'une chose ; passer cette période. Des questions plein la tête "Que ce passera-t-il après", "Je deviendrais quoi moi ?"
Adulte, on regrette l'insouciance et la tranquillité que nous offrait l'enfance. Pour ceux qui avait cru dur comme fer à leurs rêves, ça s'est réalisé. Pour d'autre, c'est plus dur, mais il essaye de s'en sortir. On se renferme, on construit notre histoire ; on se demmerde.

"- Pourquoi n'écrivez-vous pas l'histoire de votre vie ? - C'est bien assez de la vivre."

Depuis tout petit, on vous raconte des contes de fée. La princesse épouse le prince, et ils eurent beaucoup d'enfant et vécurent heureux. On vous dit quel chemin suivre, les exemples à imiter, ceux à éviter. Vos parents, si vous venez d'une bonne famille, vous ont toujours conseillé d'avoir un beau métier, un bon mari -ou une bonne épouse- et d'avoir de beaux enfants élever dans des conditions de vie paisibles. Le Mauvais exemple, d'après eux, serait la femme divorcée, n'ayant que de cesse de devoir trouver des petits boulots pour payer le loyer de son appartement miteux qu'elle partage avec des enfants ayant des pères différents.
Tout le monde voudrait que le monde soit tout rose, sans soucis ; mais tout le monde, n'importe quel personne, a ses soucis.

"La vie, c’est comme une boîte de chocolat on ne sait jamais sur quoi on va tomber .."

Mais la vie c'est imprévisible, jamais vous ne saurez ce qui vous attend -à moins d'être médium-. Peut-être rencontrerez vous l'amour ; peut-être que vous n'aurez pas une famille parfaite. Peut-être que vous aurez un job de rêve, avec le salaire qui va avec, mais une vie sociale des plus pitoyable. Ou alors la personne la plus admiré, ayant de bons amis, mais qui doit se débrouiller comme elle peut pour se nourrir et se loger. Peut-être que vous paraitrez heureux, peut-être que les misères ne feront que vous tombez dessus.


"La vie n'est pas un restaurant mais un buffet. Levez-vous pour vous servir."

Si c'est à vous de vous servir, faites tourner les choses, en votre faveur. Plaquer tout, recommencer votre vie ; il est temps de vous construire une vie de rêves. Galveston, c'est une petite ville ; partez de là pour tout reconstruire. Peut-être serez vous heureux, peut-être pas. Vous avez les dès en main ; c'est vous qui décidez, malgré que le destin puisse tout chambouler.

VOUS RECOMENCEZ TOUT ? VOUS VOULEZ CHANGER ? TENTEZ VOTRE CHANCE A GALVESTON, MAIS N'OUBLIEZ PAS, CERTAINES CHOSES NE CHANGERONT JAMAIS...


Vous incarnez un jeune adulte débarquant tout juste à Galveston ou qui y vit déjà depuis un moment. Tout le monde y a ses soucis, la vie n'est pas toute belle toute rose.
Quoi qu'il en est, vous venez d'appuyer sur "reset", tout recommence, essayer d'oublier vos erreurs. Profitez de la vie avec vos nombreux amis, votre carte bleue, vos 2 amants, ainsi que votre mari et vos deux bambins en projet !

Et si vous vous retrouviez dans un monde qui ressemble au votre, qui vit comme le votre mais qui ne l'est pas réellement ? Et si la Bible avait raison sur bien plus de choses qu'il n'y paraissait ? Et si.. Dieu en avait marre du monde, de ses enfants et de vous ? Que se passerait-il ?
Bienvenue à New-York, une ville plongée dans une réalité alternative. Coupée du monde, elle n'a plus besoin des autres pour évoluer. Si vous y entrez ? Vous ne pourrez plus en ressortir, quelque soit votre nature. Princes Démons et Archanges punis et amputés de leurs pouvoirs, tout comme de leur mémoire, se retrouvent ici. Démons et Anges viennent pour récupérer ou achever leurs supérieurs. Les Psis protègent l'humain, chassent l'intrus. Et vous, dans tout ça ? Vous survivez, vous chassez, vous observez. Après tout, l'ordre établit n'est plus.. Puisque Dieu et Lucifer ont déserté.
Contexte complet :

Code:

http://in-nomine-mens.bbactif.com/my-changing-world-f1/contexte-t6.htm#20/

~~Mardi 5 Mai 1979~~

Cher Journal
Les années passent nous ne sommes plus les enfants bagarreurs et chamailleurs d’autrefois. Bien sur nous avons gardés nos âmes de maraudeurs. James à pour habitudes de dire

« Maraudeur d’un jour Maraudeur de toujours »

Les années Poudlard sont derrière nous. Pour nous commences une nouvelle vie. Une nouvelle vie dans laquelle on doit apprendre à se débrouiller tout seul. Il n’y a plus de professeurs pour nous mettre des retenues ou encore pour nous donner des devoirs. Enfin cela dépends des personnes car pour ma part j’ai décidé de suivre des cours de médecine moldu pour pouvoir travailler dans ce domaine et pour être enfin accepté quelques part et des devoirs j‘en ai encore des tonnes. Et oui quand on est un loup Garou cela n’est pas facile de s’intégrer bien au contraire. A travers cette plume je tiens à dire que Rémus John Lupin à bien l’intention de réussir dans la vie et le fait d’être un loup garous ne changera rien à la donne.

Mes amis me permettent d’avoir cette force de me battre pour avoir une place dans la société. James et Lily ont donnés récemment naissance à un petit Harry. Bien que James est voulut que je deviennes le parrain de son enfant j’ai refusés. Pour la simple et bonne raison que je peux devenir dangereux et en aucun cas je ne voudrais faire du mal à ce bébé. C’est donc Sirius qui à été nommé Parrain.

Je dois avouer cependant que j’ai des doutes sur la fidélité de Peter. Depuis quelques temps il est bizarre et distant. Il ne parle presque plus. Cela en devient inquiétant mais je m’en soucierais plus tard.

« L’amitié est une chose qui permet de lutter. L’amitié est une arme que seul quelques personnes ont la clé et que la magie noir ne peut pas détruire»

J’ai toujours beaucoup aimé cette phrase prononcé par Albus Dumbledore il y a de cela quelques jours après que Lord Voldemort et quelques de ses partisans aient tué plusieurs sorciers né moldu. Arrivé sur les lieux nous avons essayé d’arrêter le massacre. Mais la seule chose que nous avons put faire est de récupérer une espèce de montre. Incapable de l’ouvrir nous avons prit la décision de la sceller dans le mur du grenier du QG de l’ordre du phœnix. J’ai la sensation que cet objet est dangereux et que cela n’est pas une bonne idée de l’avoir mit ici. J’ai toujours eu pour habitude de me fier à mon instinct.

Il est temps pour moi de retourner à mes affaires je vous souhaites une bonne soirée.

Rémus Lupin



~~5 Mai 2010~~



Parfois je me demandes pourquoi je me donnes tant de mal à vouloir à tout prix rénover la maison de Sirius qui était le QG de l’ordre du Phœnix. Hermione n’arrête pas de me répéter que c’est en hommage que je souhaite le faire. Mais dans le fond je ne pense pas que ça soit la réalité. Nous sommes tout les trois ensemble dans le grenier à trier carton après carton. Ne trouvant pas grand chose de récupérables. J’entends soudain Ron dire de venir voir. Avec Hermione nous nous approchons donc. Dans le mur nous pouvons voir quelques choses d’anormale comme une doubles tapisserie. Ron sort sa baguette et utilise plusieurs sorts de dévoilement. Bientôt la tapisserie du mur disparut pour laisser place à une niche. Hermione n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche pour dire quelques choses que Ron plongea la main dans la tapisserie et en sortit une montre. Une montre?

Il essaya de l’ouvrir celle ci semble coincé. Hermione proposa de la remettre à sa place mais je l’a prend dans mes mains. Est ce que cette montre à appartenu à mon parrain? J’aimerais tellement le revoir lui et aussi Rémus. Soudainement la montre s’illumina cette lumière nous enveloppa ainsi qu’une violente douleur dans la tête. Tout commença à tourner de plus en plus vite. Puis le noir.

Ce que nous ne savions pas c’est que cette montre viens de nous ramener en 1979.





Le destin est devant nous. Au menu nouvelle époque, nouvelle menace et nouvelles rencontres

De Quel coté serez vous?

….Le destin est entre vos mains…

Bienvenue en Californie !
Mais, d'abord que fais tu ici ? Tu viens pour l'enseignement ? Pour avoir une meilleure vie ? Pour fuir des ennemis ? Peut importe ! Tu es là & c'est tout ce qui compte ! Encore une fois, bienvenue parmi nous ! Tu verras, tu vas te plaire dans notre université... Mais suis je bête ! Je ne t'ai même pas parlé de notre histoire, alors écoute bien, car je vais te la compter.

« Elle commence en été 1895. C'était un beau jour de juillet, pendant lequel un architecte et toute une équipe d'ingénieur, assis sur la pelouse, réfléchissait à un projet. Il voulait construire une université où se mêlerait des personnes de toutes nationalités, de tous revenus financiers et de tous caractères. Ils avaient en tête, l'idée folle de faire un bâtiment de deux ailes, avec plus de 1000 classes de cours, trois étages, un parc, un gymnase, un campus sur plusieurs hectares. Ce projet, venait de Mister Clayton M. Mark. Un architecte reconnu dans toute l'Amérique pour ses projets les plus fous. Cette université faisait partie de ses projets. Il décida alors, de relevez le défi.
Pendant près d'un mois il dessine un plan, dans ce plan, ses rêves les plus fous viennent prendre forme. Il décide des couleurs des couloirs, des portes, des murs & il va même jusqu'à décider de la marque des fenêtres qui seront utiliser. Le projet "The High University" est né. Ce jour d'août, le 29 en 1895. Il met au courant toute son équipe, qui, ravit par son enthousiasme, contact leurs ouvriers. Et dès le lendemain, la construction commence.

Aujourd'hui, nous sommes en 2005. Et l'université tient toujours debout. Comble du miracle, devrais-je dire. Mister Mark serait fier de nous, s'il était encore en vie. Car il y a de ça quelques années, nous avons agrandit notre campus, pour que les étudiants s'y sentent à l'aise. Aujourd'hui encore, ils nous remercient. Alors, nous faisons tout pour que l'université vivent encore longtemps. »

Comprends-tu la richesse de notre histoire ? Veux-tu, toi aussi, passer dans notre hall, gravir les marches de nos escaliers et participer à nos cours ? Faire des rencontres hors du commun ? Oui ? Vraiment ? Alors, rejoins - nous sans hésiter ! Nous t'attendons avec impatience.

C'est un site web perso où je fais des graphismes aussi pour forums (avatars en tous genre), icones, wallpapers, & iphone/itouch stuff. J'y expose aussi des webséries et des citations. Je fais également quelques articles dans mes news et prochainement une vrai rubrique y sera consacrée.

Poser ses valises sur le sol d'un geste sec, adresser un regard haineux à sa mère, et soupirer bruyamment. Le cérémonial est presque toujours le même, lorsqu'on intègre l'Université de New-York. Loin du prestige de Yale, Harvard ou Stanford, combien d'étudiants ont déjà regretté d'être coincés dans cette université qui fait parler d'elle pour les frasques qui si passent ? Certains ont cependant vite comprit qu'être dans une université a priori banale pouvait apporter de nombreux avantages... En effet, pendant que les regards se tournent vers les grandes écoles, les plus modestes, elles, sont libres de faire ce que bon leur semble... Et ne s'en privent pas. Bien vite, la rumeur se répand dans tout le pays: il paraitrait que dans l'université de New, on s'y amuse plus qu'ailleurs... Et ce n'est pas peu dire. Depuis une dizaine d'années, l'Université de New-York a su, grâce à ses étudiants, se forger une réputation de fêtard, où l'alcool coule à flot, tandis que personne ne semble y prêter attention, en dehors des murs du campus... Après tout, tant que Yale et Harvard continuent de resplendir de mille feux, le sort des autres universités parait bien secondaire... Il y a maintenant un an, l'université fut vu comme la pire de tout les États-Unis et on décida de remédier à tout ça en mettant un couvre feu au campus, des cours un peu plus strict diriger par un tout nouveau proviseur qui ne semble pas être très tendre. Ce nouveau train de vie à l'université de New-York va vite calmer les jeunes, mais qui à dit que personne ne continue à s'amuser ? Attention à vous, car à New-York rien n'est prévisible ... Bien au contraire !